Graying the space between happiness and lies, I live my life lost and astray. I think direction evades me. This fucking bullshit attempt at tranquility leaves me empty and I won't find hope knowing that I'll be the death of me.
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Quand mon père était môme, il était dans une école qui avait deux curés comme pion ; comme les châtiments corporels étaient plus ou moins tolérés et qu'ils ne se gênaient pas pour les infliger, ils avaient pour surnom les Frères Quatre-Bras. C'est un surnom qui irait tout aussi bien à Cara Neir parce que ce qui compte dans le Split with Flesh Born, c'est de nous mettre un maximum de claques dans la gueule, quitte à faire appel à un chanteur de plus. Mais Cara Neir passe aussi un peu de pommade. Jordan Vauvert
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The Overwatch tabasse dur mais il tabasse bien ! Cara Neir vaporise tout sur son passage en l'espace de dix minutes avec un grindcore au vitriol, avec un twist : Cara Neir bourre, mais de manière travaillée. Certaines paroles référencées (à Half-Life notamment) pleine d'humour, d'autres attaquant sauvagement le fascisme (comme il se doit) dans "Glorious Genocide", et surtout un grindcore très technique ("Combine Desecration", "Departure Point: Eta Carinae"). Cara Neir dans les règles de l'art ! Jordan Vauvert
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Cara Neir à ses débuts, c'est quand même quelque chose ! Chris et Garry nous servent un blackened crust très énervé : le duo enchaîne les claques survitaminées avec des pistes comme "The Bridge of Despise" ou "The Apothecary" qui sont d'une violence franchement jouissive. Malgré tout, le groupe ne se contente pas de cette recette puisqu'ils cessent pas d'impressionner par leur virtuosité. Garry est phénoménal à la batterie, partant presque dans des improvisations. Et puis cette conclusion !! Jordan Vauvert